Qu'est-ce que l'apprentissage ? De la théorie à la pratique
L'apprentissage fait partie de notre vie. Chaque jour, nous acquérons de nouvelles connaissances, compétences, compréhensions, valeurs et préférences. Cela peut se faire de manière implicite et répétée, par exemple en regardant les infos ou en discutant avec un collègue. Mais nous choisissons aussi consciemment d'apprendre de nouvelles choses, comme une nouvelle langue, un nouveau sport ou un nouveau logiciel. L'apprentissage est une notion complexe. Pourquoi certaines personnes sont-elles douées dans ce domaine et d'autres pas ? Et pourquoi avons-nous tous nos préférences en matière d'apprentissage ? Penchons-nous sur la théorie de l'apprentissage pour que vous puissiez optimiser vos formations !
Table des matières
- Quelle est la définition de l'apprentissage ?
- Les cinq principales théories de l'apprentissage
- Comment aborder les différents styles d'apprentissage ?
- Quelles sont les implications pour la formation ?
- Quels sont les facteurs qui influencent l'apprentissage ?
- Comment pouvez-vous offrir une expérience d'apprentissage efficace ?
Quelle est la définition de l'apprentissage ?
Les recherches portant sur les éléments constitutifs de l'apprentissage ne sont pas concluantes. Mais la plupart s'accordent à dire que l'apprentissage est bien plus que la mémorisation et le rappel d'informations. Il implique une compréhension profonde et durable et la mise en relation de nouvelles informations avec des connaissances, des idées et des concepts existants. L'apprentissage est souvent défini comme suit :
« L'apprentissage est un processus qui conduit à un changement, qui survient à la suite de l'expérience et augmente le potentiel d'amélioration des performances et d'apprentissage futur. Le changement chez l'apprenant peut se produire au niveau des connaissances, de l'attitude ou du comportement. Grâce à l'apprentissage, les apprenants en viennent à percevoir les concepts, les idées et/ou le monde différemment. [1] »
Au regard de cette définition, les activités ou processus d'apprentissage les plus importants concernent :
- La sélection d'informations
- L'acquisition des informations
- Le traitement des informations
- L'intégration de nouvelles informations aux connaissances actuelles
- L'établissement d'un nouveau modèle conceptuel
- L'utilisation des informations
- Le fait de donner du sens aux informations [2]
Les cinq principales théories de l'apprentissage
Comprendre la manière dont les gens apprennent est une étape essentielle pour optimiser le processus d'apprentissage
Comprendre la manière dont les gens apprennent est une étape essentielle pour optimiser le processus d'apprentissage. Depuis le début du XXe siècle, les chercheurs se sont interrogés sur la manière dont les apprenants assimilent et sur le meilleur moyen de surmonter les différents obstacles liés à l'apprentissage. Cette réflexion a donné naissance à différentes théories sur les meilleurs processus et stratégies d'apprentissage. Examinons les cinq principales théories de l'apprentissage :
1. Le béhaviorisme (ou comportementalisme)
Ce mouvement traditionnel est apparu au début du 20e siècle. La théorie du béhaviorisme se résume à la devise suivante : « C'est en forgeant qu'on devient forgeron ». Avec suffisamment de pratique et d'entraînement, les gens devraient finalement être capables d'effectuer une action spécifique sans réfléchir. En outre, les béhavioristes partent du principe que des stimuli externes provoquent des changements de comportement, le rôle de l'enseignant étant d'aider les apprenants à construire des connaissances, à réfléchir et à utiliser diverses stratégies d'apprentissage.
Exemples de béhaviorisme dans l'éducation moderne
- Donner des points bonus pour les devoirs faits.
- Développer l'apprentissage des élèves étape par étape.
2. Le cognitivisme
Ce mouvement a supplanté la théorie du béhaviorisme dans les années 60. Le cognitivisme se concentre davantage sur la manière dont les élèves traitent et mémorisent les informations. Selon cette théorie, le cerveau humain est une « boîte noire », semblable à un ordinateur. Depuis l'émergence de cette théorie, des termes tels que mémoire de travail, mémoire à court terme et mémoire à long terme ont été largement reconnus et étudiés.
Le cognitivisme soutient que le stockage des informations nécessite d'abord un traitement. De même que le matériel de formation doit être adapté aux connaissances antérieures de l'élève.
Exemples de cognitivisme dans l'éducation moderne
- Impliquer activement les élèves dans le sujet d'apprentissage en leur posant des questions qui les incitent à y réfléchir.
- Au lieu que l'enseignant ne passe une heure à relayer des informations, les élèves travaillent ensemble sur des devoirs liés au sujet.
3. Le constructivisme
Cette théorie a été établie vers 1980. Selon cette théorie, l'apprentissage est un processus social où les connaissances sont créées et partagées avec d'autres. La responsabilité en matière d'apprentissage est davantage transmise aux élèves. Il est important d'apprendre en fonction du contexte, c'est pourquoi un environnement d'apprentissage performant est indispensable. Lorsque les enfants apprennent la température, par exemple, l'enseignant peut faire référence à un thermomètre, à un four et/ou aux saisons.
Tout comme la théorie du cognitivisme, cette théorie affirme que l'apprentissage est un processus de construction de connaissances. Les apprenants doivent donc s'appuyer sur les connaissances existantes.
Exemple de constructivisme dans l'éducation moderne
- L'enseignant présente un problème, par exemple mesurer la longueur de la muraille de Chine, mais il ne présente pas immédiatement les méthodes permettant de résoudre le problème. Au lieu de cela, il laisse les élèves réfléchir au problème et créer leurs propres méthodes de mesure.
4. Le constructivisme social
Cette théorie a également été établie dans les années 80. Elle considère la construction de la connaissance d'une manière très littérale. Elle met l'accent sur une approche consistant à « apprendre en faisant et apprendre à faire ». Ce mouvement stimule la créativité, la collaboration et l'expérimentation.
Exemple de constructivisme social dans l'éducation moderne
Les élèves travaillent ensemble sur un projet, comme la création d'un potager. En plantant eux-mêmes les graines, ils en apprennent davantage sur la nature.
5. Le connectivisme
Il s'agit de la théorie la plus récente, établie en 2004. Cette théorie s'inscrit dans l'ère numérique dans laquelle nous vivons. L'aspect central du connectivisme est la métaphore d'un réseau avec des nœuds et des connexions. Les apprenants peuvent créer leur réseau d'apprentissage. Dans leur recherche d'informations, les apprenants visiteront des sites web informatifs, liront des livres et utiliseront d'autres sources. Le rôle de l'enseignant consistera davantage à donner des conseils et un retour d'information qu'à fournir activement de nouvelles connaissances.
Les adeptes du connectivisme considèrent cette théorie comme un complément aux théories existantes.
Exemple de connectivisme dans l'éducation moderne
- Le connectivisme est principalement visible en dehors d'une situation scolaire. Les élèves utilisent des ressources numériques ; l'enseignant leur apprend à examiner les informations en ligne de manière critique.
Comment aborder les différents styles d'apprentissage ?
Il n'existe aucune preuve scientifique convaincante que le fait de proposer un enseignement personnalisé améliore l'apprentissage
Tout comme il est essentiel de comprendre les différentes théories de l'apprentissage pour élaborer votre programme de formation, vous devez également comprendre les différents styles d'apprentissage des participants. C'est du moins ce que pense la majorité des enseignants. 89 % d'entre eux pensent qu'il faut adapter l'enseignement au style d'apprentissage préféré de l'étudiant. On pourrait penser que c'est une bonne chose, mais il n'existe aucune preuve scientifique convaincante que le fait de proposer un enseignement personnalisé améliore l'apprentissage [3].
Une distinction fréquemment utilisée entre les styles d'apprentissage est le modèle VARK. Selon le modèle VARK, les apprenants sont identifiés selon qu'ils ont une préférence pour :
- L'apprentissage visuel (images, films, diagrammes)
- L'apprentissage auditif (musique, discussions, conférences)
- La lecture et l'écriture (faire des listes, lire des manuels, prendre des notes)
- L'apprentissage kinesthésique (mouvement, expériences, activités pratiques)
Aussi attrayant que soit un cadre comme VARK - relativement facile à conceptualiser et rapide à évaluer - chacun s'engage dans différents modes d'apprentissage de diverses manières. Le cerveau traite l'information de manière très complexe et nuancée et on ne peut pas généraliser ce processus aussi simplement. Ainsi, si vous façonnez votre matériel de formation en fonction d'un style d'apprentissage spécifique, vos apprenants risquent de ne pas saisir certaines opportunités d'apprentissage. Il est préférable d'adopter une approche générale. Mais votre programme doit alors être solide pour que la nécessité de personnaliser disparaisse. À cet égard, solide signifie que :
- L'étudiant se sent impliqué.
- Le contenu est représenté de plusieurs façons.
- Il stimule l'action et l'expression de la part de l'étudiant.
La pédagogie universelle (Universal Design for Learning ou UDL en anglais) est une approche qui soutient cette façon de penser. Elle vise à répondre aux besoins de chaque apprenant dans une classe traditionnelle ou un environnement d'apprentissage en ligne.
Quelles sont les implications pour la formation ?
Les théories de l'apprentissage peuvent notamment déterminer la conception de votre formation et de vos cours. La théorie est la base du programme d'enseignement, même si vous n'en êtes pas conscient. Pensez-vous que la répétition des faits est importante pour apprendre ? Ou vous considérez-vous davantage comme un médiateur que comme un enseignant ? Et préférez-vous une approche fondée sur des projets ? Consciemment - mais aussi inconsciemment - vous voyez ces aspects se refléter dans votre formation et votre façon d'enseigner.
Et cela a, bien sûr, un effet sur vos élèves. Imaginez que vous optiez pour une méthode d'enseignement qui met l'accent sur l'apprentissage social et visuel. Vos élèves se sentiront par la suite plus à l'aise dans un environnement de travail où la coopération est primordiale et où les présentations vidéo sont plus fréquentes que la lecture de documents écrits.
Quels sont les facteurs qui influencent l'apprentissage ?
La théorie de l'apprentissage est au cœur de l'éducation. Mais en fin de compte, le fait de baser votre formation sur des théories de l'apprentissage n'est pas la seule influence sur la qualité de l'apprentissage. D'autres facteurs entrent également en jeu.
Les facteurs physiologiques [4]
1. La perception sensorielle
La déficience de l'un des sens rend l'apprentissage plus difficile. Par exemple, un aveugle a plus de mal à apprendre qu'une personne sans déficience visuelle s'il ne dispose pas des bons outils.
2. La santé physique
Si vous ne vous sentez pas bien physiquement, vous n'êtes pas en mesure d'apprendre aussi bien que vous le pouvez. Un esprit sain n'est possible que dans un corps sain.
3. La fatigue
Elle est liée au point deux, la santé physique. Si vous êtes physiquement ou mentalement fatigué, vous ne pouvez pas vous montrer sous votre meilleur jour. La fatigue peut avoir plusieurs causes : vous avez trop de travail, votre régime alimentaire n'est pas équilibré, vous avez étudié trop longtemps, etc.
4. Le moment de la journée
Des études ont montré que l'apprentissage est plus efficace entre 10h00 et 14h00 et entre 16h00 et 22h00
Des études ont montré que l'apprentissage est plus efficace entre 10h00 et 14h00 et entre 16h00 et 22h00, lorsque le cerveau est le plus réceptif. En revanche, le moment le moins propice à l'apprentissage se situe entre 4h et 7h du matin [5].
5. L'alimentation
Il ne faut pas sous-estimer l'effet d'une alimentation saine. Une bonne alimentation favorise une activité mentale efficace. Une mauvaise alimentation a l'effet inverse. L'alcool, la caféine et la nicotine sont connus pour leurs effets sur le cerveau, et vous devriez être conscient de leur impact nocif.
6. L'âge
Les preuves sont irréfutables : à mesure que nous vieillissons, nos capacités cérébrales diminuent. Il est généralement plus facile d'apprendre quand on est jeune. C'est à partir de 25 ans que la stagnation est la plus marquée.
Les facteurs psychologiques
1. La santé mentale
La pression mentale, les complexes, les conflits, les troubles mentaux et les maladies mentales entravent l'apprentissage.
2. La motivation et l'intérêt
La motivation est la clé de l'apprentissage. Si vous êtes motivé pour apprendre, vous pouvez absorber les informations (et vous en souvenir et les appliquer plus tard). Si vous manquez de motivation, les connaissances et les compétences ne seront pas assimilées.
3. Le renforcement positif
Rien n'est aussi addictif que le succès. Si vous avez le sentiment de réussir ou si vous recevez des éloges de votre professeur ou de votre instructeur, vous vous sentirez pousser des ailes. Parfois, cela peut fonctionner dans l'autre sens. Il est prouvé que les enfants plus âgés sont plus sensibles aux reproches et aux critiques que les plus jeunes.
Les facteurs environnementaux
1. Les conditions de travail
Un bon éclairage, une bonne ventilation, une température adéquate et l'humidité ont un impact positif sur l'efficacité mentale. Les distractions de toutes sortes affectent la capacité de concentration et, par conséquent, l'efficacité de l'apprentissage.
2. La configuration organisationnelle
L'organisation comprend, par exemple, l'horaire de l'école ou de la formation. Celui-ci doit être conforme aux principes psychologiques et doit éviter la fatigue et l'ennui. Ainsi, il serait utile d'aborder les sujets difficiles aux meilleurs moments d'apprentissage. Par ailleurs, une relation positive entre le formateur et l'étudiant contribue à la qualité de l'apprentissage. Si l'étudiant fait confiance au formateur et est motivé, cela se reflétera dans ses résultats.
La méthodologie d'enseignement
1. La présentation
La manière dont le matériel d'apprentissage/de formation est présenté est essentielle
La manière dont le matériel d'apprentissage/de formation est présenté est essentielle. Il doit être attrayant, organisé et classé en fonction du niveau mental de l'élève. Les instructeurs doivent le présenter d'une manière significative et intéressante. Le matériel de formation peut être présenté hors ligne (dans des livres, des programmes scolaires) ou en ligne (dans un LMS, un webinaire ou une présentation en ligne).
2. L'apprentissage par la pratique et les tests
La répétition et la pratique sont importantes pour l'apprentissage. Il faut encourager les élèves à appliquer ce qu'ils ont appris (en passant un examen pour évaluer leur niveau de connaissances) ou à apprendre par la pratique. On retient mieux les connaissances si l'on a une expérience personnelle du matériel d'apprentissage. Vous pouvez lire comment faire une réanimation cardio-vasculaire dans un livre, mais la pratique sur un mannequin est beaucoup plus utile.
Comment pouvez-vous offrir une expérience d'apprentissage efficace ?
Comme nous l'avons déjà expliqué, de nombreux facteurs influencent l'apprentissage. En tant qu'instructeur, vous n'avez pas d'influence sur tous les facteurs, mais seulement sur un sous-ensemble. Vous devez donc vous concentrer sur ce que vous pouvez influencer.
Prenez le temps de créer un matériel de formation de qualité
Une expression célèbre dit que « l'on récolte ce que l'on a semé ». Ce dicton s'applique parfaitement à l'apprentissage. Un matériel de formation de qualité est une condition préalable à l'obtention de bons résultats d'apprentissage. Mais qu'est-ce qu'un bon matériel de formation ?
Difficile, mais pas trop
Il doit s'appuyer sur des connaissances antérieures, mais ne pas être répétitif. Le niveau du matériel doit être suffisamment stimulant, mais pas trop. Si le matériel est trop facile, vos élèves ne se sentiront pas motivés et ne feront pas d'efforts. D'un autre côté, si le niveau de la formation est trop élevé, les élèves seront démotivés. Pour que tout le monde reste concentré, le contenu doit être un peu plus élevé que le niveau de connaissances et de compétences actuel, mais pas trop.
L'aspect et la présentation
L'aspect et la présentation de votre matériel sont également importants. S'il est agréable à l'œil, il l'est aussi pour le cerveau. On a tous tendance à préférer un livre, un document papier ou un matériel pédagogique en ligne avec des couleurs vives, des images (ou des vidéos), une police de caractères (taille) claire, des espaces et ainsi de suite, car cela facilite la lecture. Notez que l'utilisation des couleurs dans le matériel pédagogique est reconnue comme jouant un rôle essentiel pour créer différentes réactions émotionnelles et capter l'attention des apprenants. Par exemple, les couleurs chaudes comme le rouge, l'orange et le jaune sont idéales pour attirer l'attention des apprenants et stimuler leur participation active. De même, l'utilisation d'un fond bleu augmente la probabilité que les informations fournies soient mémorisées [6].
Vous devez tenir compte de la capacité d'attention de vos élèves
La capacité d'attention
Enfin, vous devez tenir compte de la capacité d'attention de vos élèves. Ils ne peuvent pas se concentrer toute la journée. Essayez donc d'enseigner les sujets difficiles lorsque l'apprentissage est le plus efficace et prévoyez des pauses pendant la formation. Assurez-vous que votre outil de formation en ligne prévienne les élèves lorsqu'il est temps de faire une pause ou commencez à utiliser un outil qui prend en charge le microlearning. Selon de nombreuses études, l'adulte lambda a une capacité d'attention maximale d'environ 20 minutes.
Consacrez du temps et des efforts à votre relation avec vos élèves
Le respect envers l'instructeur est essentiel. Si les gens vous aiment, vous font confiance et que vous les motivez, ils sont prêts à en faire plus. Montrez à vos élèves que vous vous intéressez à eux, consacrez du temps et des efforts pour apprendre à les connaître, renforcez leur estime de soi et veillez à ce qu'ils ne se sentent pas comme un simple numéro, mais qu'ils aient plutôt le sentiment d'être dans un environnement sûr et calme. Cela portera ses fruits.
Consacrez du temps et des efforts à la création d'une atmosphère agréable sur votre lieu de formation
Assurez-vous qu'il y ait un bon éclairage, une bonne ventilation, une bonne température et un bon taux d'humidité. Vous pouvez aussi agir sur la façon dont vous présentez votre salle de classe. Elle doit être accueillante mais pas distrayante.
L'utilisation de la couleur
L'utilisation du jaune dans votre classe encouragera vos élèves à être créatifs
Tout comme l'utilisation des couleurs dans le matériel pédagogique s'est avérée jouer un rôle important, l'utilisation des couleurs dans une salle de classe l'est également. Par exemple, le vert est associé au calme, tandis que le noir est associé à la tristesse. L'utilisation du jaune dans votre classe encouragera vos élèves à être créatifs et vous aidera à maintenir leur attention. Supposons que vous organisiez une journée de formation sur le dessin et la pensée visuelle. Dans ce cas, vous pouvez ajouter des touches de jaune à votre lieu de formation.
Un LMS
De nos jours, l'apprentissage se fait souvent en ligne ; vous pouvez avoir un impact positif sur l'apprentissage en choisissant un outil, comme un LMS, qui favorise un apprentissage sans distraction. Quand on utilise un appareil électronique, les tentations sont nombreuses. Pourtant, si l'outil d'apprentissage ne laisse aucune place à la distraction, au moins un obstacle a été éliminé. Par exemple, les outils d'apprentissage sans distraction n'affichent pas de logo dans un coin. Seul le contenu de l'apprentissage est visible dans des couleurs chaudes et une police facile à lire.
Maintenant que vous en savez plus sur les bases de l'apprentissage, vous êtes bien équipé pour créer la meilleure expérience d'apprentissage possible ! Bonne chance !
Ressources utiles
- Ambrose, Susan A. et al. 2010. How Learning Works: Seven Research-Based Principles for Smart Teaching.
- Dixon, 1994. The Learning Cycle.
- Sternberg, R. J. 1994. Thinking Styles: Theory and Assessment at the Interface between Intelligence and Personality.
- Reid, J. M. (1995). Learning styles in the ESL/EFL classroom.
- Newton & Salvi, 2020. How Common Is Belief in the Learning Styles Neuromyth, and Does It Matter? A Pragmatic Systematic Review
- PSB Academy, 2020
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